Une guerre 14-18
Leur guerre 14-18
Deux poilus
Un, volontaire du premier jour
Un deuxième, jeune, appelé au cours des combats
Une rencontre près de Verdun en 1916
Une amitié née dans la boue, les rats, le sang, les morts
Des discussions dans un abri de fortune (cagna) / au milieu du no man's land la nuit de Noël 1916 / dans une grange gelée au milieu des morts et des mourants
Deux humains dans l'angoisse de la guerre
Mise en scène et écriture : Thomas Piasecki
Interprétation : Nicolas Cornille et Jean-Maximilien Sobocinski
Création sonore et technique : Gilles Gauvin
Décor : Johanne Huysman
Regard extérieur : Stéphanie Cliquennois
- La Manivelle Théâtre de Wasquehal
- Le collège Victor Hugo de Somain
- Le Centre Culturel Evasion de Noyelles-sous-Lens
- Le collège Boris Vian de Coudekerque-Branche
- Le collège Jean Lemaire des belges de Bavay
- Le collège Jean Moulin de Wattignies
- Le collège St Jean de La Madeleine
- Le Théâtre de la Verrière
- L'Antre 2
- Le Temple de Bruay-la-Buissière
Fin observateur des hommes et de leur condition, Courteline décrit la manière dont les individus se construisent, s'affirment face à l'Autre. Ce sont « des jeux souhaitables et nécessaires », comme l'écrit Eric Berne, dans Des jeux et des hommes.
Les personnages sont dans des situations de crise, « au bord de la catastrophe ». Chacun est son propre bourreau, c'est sa condition d'être humain qui lui est insupportable, dans ces moments critiques, même si le bouc émissaire est toujours l’Autre.
Le comique nous sauvera de ces machines infernales.
Il n'y a aucun manichéisme dans aucune des pièces : il n'y a pas les bons et les méchants, les opprimés et les bourreaux : il n’y a aucune morale, mais on s’attachera à être toujours dans l’empathie avec eux.
C'est l'humour qui donnera de l'air.
Si ce n'est pas drôle, c'est terrible, et si c'est terrible, il faut qu'on soit drôle. Pas l'un sans l'autre.
Mise en scène : François Godart
Interprétation : Adeline-Fleur Baude, Stéphanie Cliquennois, Jean-Maximilien Sobocinski, Cyril Brisse et Bruno Buffoli en alternance
Collaboration artistique : Céline Dupuis
Création lumière : Gilles Gauvin
Création sonore et musicale : Gilles Gauvin et François Godart
Costumes : Catherine Lefebvre
- La ville de Boubers sur Canche
- L'Office culturel de Fouquières-lez-Lens
- Le Théâtre de la Verrière
- La Manivelle Théâtre
- Le CROUS de Lille
- La Comédie de l'Aa
- Le Centre Culturel de Noyelles-Godault
- Le Centre Culturel Brassens de St Martin/Boulogne
N'ayons pas peur, Molière nous colle à la peau.
Il est pour nous tous, acteurs et spectateurs, un référent, un point de repère, un fondateur.
Avec qui pourrions-nous mieux qu’avec Molière réinterroger le théâtre, et ce qui fait notre présence au
théâtre!?
Aujourd’hui encore, l’inépuisable Molière nous permet de nous questionner sur notre époque, sur nos
contemporains. Il nous fait toujours rire, sourire et peur.
Voilà pourquoi Belle Marquise fait résonner une fois de plus les mots de Molière.
Maupassant a écrit plus de 300 nouvelles pour les journaux, des véritables tranches de vie, des personnages dépeints de manière réaliste, avec une chute souvent inattendue. Ces anecdotes réalistes contées par des personnages nous apparaissent effrayantes et nous sidèrent, comme n'importe quel fait-divers. Maupassant nous entraîne avec la noirceur de son écriture dans les méandres de l'âme humaine.